
Il fait jour de plus en plus tôt
et nuit de plus en plus tard.
C’est d’une banalité réconfortante.
Lire la suite « Il revient »
Il fait jour de plus en plus tôt
et nuit de plus en plus tard.
C’est d’une banalité réconfortante.
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Une immense usine qui fabriquait des appareils électroménagers, du temps révolu de l’industrie française. Aujourd’hui désaffectée, elle a été investie pendant plusieurs mois par la Biennale d’art contemporain de Lyon. Sept halls vides, dont la matière des murs, la géométrie des poutrelles, la palette des signalisations au sol, le demi-jour qui les éclaire suffiraient à susciter une émotion esthétique, empreinte de nostalgie et de futurisme. Lire la suite « L’ennui se cultive »
Aujourd’hui, juste un conseil, une recommandation, un précepte, formulé par un musicien-poète turc à l’intention de sa fille :
« Pour bien raconter une histoire, il faut mélanger 60 % de vérité, 30 % de mensonge et 10 % de pur mystère. »
Entendu dans le spectacle de Hatice Özer, Le Chant du père, donné à la Soufflerie de Rezé le 30 novembre dernier.
Voir un aperçu du spectacle.
Je viens de lire un article de presse qui dénonce « l’ébriété énergétique » dans laquelle nous nous complaisons depuis trop longtemps. Lire la suite « Ébriété »
Je viens de voir à la télévision un enregistrement de la pièce de Simon Abkarian Electre des bas-fonds, qui raconte une nouvelle fois le drame des Atrides, cette famille royale grecque à l’origine de la guerre de Troie, que la victoire n’a pas sauvée des haines internes et des meurtres. Lire la suite « Inépuisable tragédie »