
Voici quelques vers d’Anne Sylvestre pour compléter mon billet précédent
sur le souvenir de l’enfance :
« L’enfant qui pleure au fond du puits
Sans qu’on veuille l’entendre
L’enfant qui pleure avait promis
De garder le cœur tendre
(…)
L’enfant qui pleure au fond du puits
A rêvé des merveilles
Pour ne pas l’entendre moi je fuis
Me bouchant les oreilles
(…)
L’enfant qui pleure au fond du puits
Possédait les nuages
Se tressait des nattes de pluie
Pour ses dimanches sages
(…)
Nous avons chacun notre puits
Où meurt un enfant tendre
Nous l’entendons pleurer la nuit
Sans jamais bien comprendre »
Écouter l’intégralité de la chanson.
Magnifique merci
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Super. Merci. Bonne fin d’année
Annick
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